Et si l’on dépoussièrait l’expression du XXème siècle pour la remixer au goût d’une journée iodée ? Le bonheur vécu étant aussi grand que l’océan, et l’océan étant le berceau de vagues par milliers, pourquoi ne pas surfer au lieu de nager ?

PS : j’ai appris à surfer ici, à Nusa Lembongan, aux côtés d’enfants qui grandissent et vivent avec très peu, pour ne pas dire ‘rien’. Et pourtant, si vous pouviez voir leurs sourires se dessiner sur leurs minois dès qu’ils attrapent une vague inopinée. Si vous pouviez entendre entendre leurs rires qui couvrent l’éclat de l’écume agitée. Au quotidien, je partage ce terrain de jeu ondulé avec eux et je les observe, abasourdie par leur état d’esprit. Ils se prêtent leurs planches ; certaines sont de cinquième main, les autres ont été raccommodées mille fois. Je peux vous assurer qu’ils sont l’illustration même de cette expression. Ils n’ont presque rien mais tant qu’ils ont l’océan et leurs copains avec qui surfer, ces chérubins sont très heureux.

Déjà waxée, cette affiche est prête à être accrochée :

• Format A4 (votre mur l’aime déjà)

• 300g, épaisseur de rigueur